La cheminée cosmotellurique
La cheminée cosmo tellurique c’est quoi ?
Il semblerait que ce soit un peu l’équivalent des pores de la peau des êtres humains, points par lesquels le corps respire. La terre est une entité vivante, notre bonne vieille Gaïa respire à sa façon. Echange terre, ciel, de fluides énergétiques dont nous ne sommes pas conscient. Mais que l’on « subit » si on se trouve dans la trajectoire. Ces cheminées sont de forme généralement circulaire (plus ou moins) d’un diamètre qui peut varier entre
Le test du pendule sur la cheminée permet de suivre le mouvement. Je l’enseigne également.
Une cheminée dite positive peut vibrer à 14 000 voire 18 000. Allongez-vous pour faire une sieste sur une cheminée négative, vous vous relèverez plus fatigué qu’au coucher. Entre le mouvement ascendant – descendant, il y a un arrêt de quelques secondes. Il n’y a pas de logique pour les cheminées cosmotelluriques. Il peut s’en trouver un très grand nombre, au même endroit, comme ne pas y en avoir du tout. Elle peut être seule ou éloignée les unes des autres, ou groupées, serrées les unes contre les autres, encastrées les unes dans les autres. Chacune possède son propre rythme respiratoire, comme sur le croquis trois sont enchevêtrées. Une qui vibre à 1500 repose sur une qui vibre à 6500. L’une n’influence pas l’autre, idem pour celle à 8000. Certaines possèdent des bras qui vibrent sur le même rythme que la cheminée. Là aussi pas de logique, il y en a ou pas. Le bras vibrant à 6500, passe par une cheminée moins puissante, elle reste à son rythme propre. Certains donnent une forme spéciale au bras (voir dessin). Je ne confirme pas mais je n’infirme pas n’ayant pas vérifié par moi-même. Certains y voient des niveaux vibratoires différents jusqu’à 7, d’autres des cercles différents partant du noyau au bord de la cheminée. Là aussi, ni je confirme, ni j’infirme. Je ne m’intéresse qu’à sa présence. Je cherche le bord de la cheminée, puis son noyau, là je mesure mes Bovis juste pour savoir. Il est très facile d’éliminer définitivement une cheminée. Attention, je ne parle pas de la déplacer, mais belle et bien de la faire disparaître. La méthode de rééquilibrage que j’ai mis au point va de toutes les façons les faire disparaître définitivement. Je l’enseigne.
Elles sont, tout comme les réseaux, des phénomènes dits « cosmotelluriques ».
Là, je dois dire que l’on peut entendre vraiment n’importe quoi sur le sujet.
J’ai débuté dans l’univers de la géobiologie en 1986, il y avait peu de temps qu’elle avait été découverte. C’est en 1983 que cela se fait du moins de façon officielle. Que n’ai-je pas entendu au cours des stages auxquels je participais. Cela dure, il suffit de visiter certains sites sur le Net pour s’en convaincre. Ainsi du côté de l’Alsace, un phénomène troublant lié à la présence d’une cheminée cosmotellurique négative a été signalé par plusieurs géobiologues, et pas des moindres. Il s’agit de clochers d’églises, ceux-ci ont un mouvement tournant donnant une forme légèrement vrillée à notre clocher. Et bien ! Savez-vous braves gens que cela est dû à la présence d’une cheminée cosmotellurique sur laquelle repose le clocher. Celle-ci étant fortement négative agit sur le dit clocher, c’est du moins ce qui est expliqué sur le Net. J’espère que le géobiologue qui prétend cela n’essaie pas de nous faire croire qu’après avoir été bâti, le clocher est parti en vrille, car j’ai peine à croire que des poutres de chênes généralement de 0,50X 0,60 ou 0,40 X
Des géobiologues au sein d’association ou individuellement, prétendent et laissent entendre à qui veut bien écouter, que seule la science peut apporter une solution aux problèmes posés par les cheminées, les failles ou les réseaux. Encore faudrait-il que ladite science s’intéresse au problème. Ce propos n’est dans bien des cas, que la volonté de masquer une méconnaissance, voire une incompétence dans l’apport d’une solution à un problème posé. Trop de géobiologues ou radiesthésistes se prennent la tête et se veulent ce qu’ils ne sont pas. Ayant une démarche pseudo scientifique, alors que les solutions existent, plus elles sont simples et meilleures elles sont. L’étude de sites anciens, leurs constructions, les matériaux, les formes, l’emplacement, sont autant de réponses aux questions que l’on se pose.